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AEPR au jour le jour...
ROberta a écrit le 6 février 2008 à 08:09
Le 06 fév 2008
madame,
je veux vous apporter mon soutien car je crois qu’il doit être difficile pour vous de lire toutes ces phrases affreuses ducomité de soutien de notre soi-disant maire. La jalousie, voilà ce que vous déclenchez et c’est la seule raison qui pousse ces personnes à vous critiquer. Courage, l’échéance est bientôt là
Réponse de Corinne LUCCHINI
Sans doute avez-vous raison Madame car ces propos ne traduisent effectivement que de la haine affichée par des gens à qui je n’ai jamais rien fait. La période des élections est toujours un moment difficile. Pour certains, c’est l’occasion de “se lâcher” totalement. Les rancoeurs, les amertumes, les jalousies inavouées prennent le pas sur la raison et l’on assiste alors à un déballage sans retenue aucune de phrases assassines, d’accusations mensongères… Tout, vraiment tout est bon pour salir l’adversaire.
Voila maintenant que l’on contacte les jeunes pour tenter de me discréditer. Fort heureusement, j’ai toujours été la seule de mon ancienne équipe à leur consacrer du temps et de l’écoute. Les auteurs de ces actes sont en train de perdre le peu de crédibilité qu’il leur restait et cela me donne encore plus de courage, je ne vous le cache pas !
Je refuse de rentrer dans ce jeu. Je le subis certes, mais ma volonté et ma détermination d’oeuvrer pour Rognac m’aident à surmonter toutes ces basses attaques qui ne concernent en fait que ma personne.
A croire que je fais aujourd’hui peur à mes adversaires politiques pour qu’ils s’en prennent autant à moi. Serais-je en train de convaincre les Rognacais et les remontées de mes actions dérangeraient-elles ceux qui se cachent parce qu’ils redoutent d’aller au devant de la population ?
Chaque jour, je rencontre personnellement mes concitoyens. Contrairement à celui qui cautionne toutes les injures que l’on profère à mon encontre, je n’ai aucun émissaire pour porter la prétendue bonne parole et jeter à chaque coin de rue les promesses sans lendemain.
Pour ma part, ce n’est pas ainsi que je conçois une campagne électorale. Alors chaque jour, des réunions, des rencontres ont lieu… Je donne ainsi l’occasion à la population de savoir qui je suis, ce que j’ai fait et ce que j’entends faire avec cette nouvelle équipe qui m’entoure. On ne m’entend pas parler des autres… on m’entend exposer nos projets, répondre aux questions, expliquer ce qu’il est possible de faire ou pas et les Rognacais sont seulement en attente de cette action.
CURN.. Jacky a écrit le 5 février 2008 à 12:54
Le 05 fév 2008
Madame
Je vous remercie de votre réponse.Croyez bien que je n’ai jamais douté de votre patriotisme et j’ai toujours été très bien reçu par vous-mêmeou par vos services .
Pour le déplacement à Aubagne (Commémoration de Camerone auquelle vous avez assisté ) vous nous avez effectivement accordé une subvention exceptionnelle; seulement il a fallu la demander, remplir un dossier,fournir un devis du transporteur etc etc..
Ce que je demande , c’est qu’il soit accordé aux associations d’AC et au Souvenir Français une subvention correcte qui leur permette de réaliser “Les Prévisions d’Activités” jointes à leur bilan de l’année sans être obligé de “Quémander”
Respectueusement vôtre
Colonel Curnié
Réponse de Corinne LUCCHINI
Mon Colonel,
Une demande de subvention exceptionnelle demande forcément l’élaboration d’un dossier. Gérer l’argent public ne doit pas se faire à la légère, et il est clair que lorsqu’on est charge des finances, avant de prendre toute décision, être en possession de toutes les pièces justificatives est un impératif. Vous le comprendrez aisément, je n’en doute pas, au vu des responsabilités qui ont été les vôtres.
Maintenant, Je vais répondre à votre question plus précisément, puisqu’il semble que vous n’ayez pas cerné au mieux ma volonté de soutenir le monde des anciens combattants. A ce jour, aucun des Présidents ne m’a encore interpellée sur ce que vous dénoncez. Peut-être vous ont-ils chargé de vous faire leur interprête ? Dans ce cas, si la confiance des Rognacais m’est accordée, je rencontrerai immédiatement après chacun des Présidents des associations d’anciens combattants pour entendre leurs difficultés et au terme de ces entrevues je serai en mesure de prendre la décision que vous espérez.
Loin de moi l’idée d’imposer aux Présidents de “quémander”, mais je ne m’inscris pas non plus dans une démarche de démagogue en vous disant tout net “Ne vous faîtes pas de souci, j’allongerai la subvention…” Je sais fort bien que la période des élections est propice à ce type de promesses sans fondements, et je constate avec effarement que mon ancienne équipe ne cesse d’en distribuer à chaque coin de rue. Mais les Rognacais sont-ils dupes ?
Enfin, en ce qui vous concerne, j’espère que vous n’attendiez pas de moi que je vous donne immédiatement un chiffre en guise de réponse. Je ne procède pas ainsi. En revanche, je le redis, si les difficultés dont vous faîtes état sont confirmées, je peux vous assurer que j’y apporterai la solution qui se doit après que nous nous soyons retrouvés autour de la table pour en échanger.
Au plaisir de vous lire…
Un chauffeur de taxi a écrit le 5 février 2008 à 12:26
Le 05 fév 2008
Madame,
Vous êtes soutenue par l’UMP et j’aimerai connaître votre position sur le rapport Attali qui organise la ruine des chauffeurs de taxi ?
Réponse de Corinne LUCCHINI
Monsieur,
Je n’aime guère prendre position sur la politique nationale. Cependant, le sujet touchant également certains Rognacais exerçant cette profession à Marignane ou sur les environs, je n’hésite pas à vous dire que je comprends totalement la position adoptée par la profession.
J’apporte donc mon soutien sans réserve aux chauffeurs de taxis qui protestent contre la menace de « déréglementation de la profession », que préconise le rapport de la commission Attali.
Je sais d’ailleurs que notre Député, Monsieur Eric Diard et le Sénateur-Maire Jean-Claude GAUDIN ont déjà fait de même.
christine a écrit le 4 février 2008 à 6:56
Le 04 fév 2008
madame ,
pouvez vous me dire ce que vous comptez faire pour le chateau de la plantade , a l heure actuelle le chateau est prété aux employés
municipaux pour des manifestations personnelles (anniversaire , bapteme ect)ne serait il pas possible que tous les rognacais puissent aussi en profitér?moyennant finance si necessaire
merci de me repondre
Réponse de Corinne LUCCHINI
Actuellement, la location du château de la Plantade se fait effectivement aux employés municipaux mais surtout à l’ensemble des associations rognacaises.
Il faut savoir que seulement 35 week-ends sur les 52 annuels peuvent être réservés à cet effet puisque le fonctionnement du centre aéré empêche une plus large plage de possibilités de location. Les associations étant prioritaires, cela permet aux Rognacais adhérents de l’une d’entre elles de bénéficier de ce dispositif. Ainsi, si l’on fait le bilan, on constate que les employés municipaux, que vous mettez en avant, ne sont pas en fait les principaux utilisateurs.
Je reconnais que la création d’une salle des fêtes satisferait certainement pas mal de Rognacais car cette demande a été formulée à plusieurs reprises au cours des différentes réunions que j’ai pu organiser avec la population. Bien que cette possibilité ne soit pas totalement écartée, je ne peux en l’état promettre une telle réalisation. Je suis au regret de constater également qu’ouvrir la location directement aux particuliers ne me semble pas non plus être la solution idéale parce que cette offre resterait très limitée.
Aujourd’hui, nos propositions sont en débat. Le programme définitif définira les priorités qu’il convient de mettre en oeuvre. La liste est déjà longue et comme je le dis toujours, il nous faut adapter les dépenses aux recettes et non pas l’inverse.
En cas d’élection, je me pencherai sérieusement sur un tel projet. Une étude avait été faite à l’époque de Monsieur Batiget pour une extension au Chateau mais il me semble que cette réalisation ne résoudrait pas le problème puisque les contraintes que je vous ai expliquées demeurent.
Colonel CURN.. a écrit le 3 février 2008 à 17:28
Le 03 fév 2008
Madame,Monsieur
Nous comptons dans notre commune 5 associations patriotiques et le SF;chaque association,après le dépôt de son bilan,reçoit une subvention annuelle d’environ 460€(Conseil Municipaldu 29/03/2007); après avoir réglé les frais fixes(assurances,reversement partiel du montant des adhésions, cotisations multiples obligatoires etc etc )il nous reste pour fonctionner environ 200 €.
Le Comité de Coordination fournit chaque année un bilan négatif; en ce qui concerne les subventions exceptionnelles(municipale ou départementale)elles sont accordées,en principe,pour l’investissement.
Ceci étant, je deamande à chaque candidat, de bien vouloir m’indiquer ce qu’il compte faire , au cas où il serait réelu ou élu,pour éviter,faute de moyens financiers, la disparition des associations patriotiques.
Les AC ont servi la France et ils peuvent encore servir en perpétuant le “Devoir de Mémoire”, auprès de notre jeunesse ( Bleuet de France,causeries dans les écoles,visites de musées etc…)et éviter l’essoufflement du Souvenir attaché Aux conflits du XXème siècle.
Colonel(er)Curnié adhérent à toutes les associations ACet SF de Rognac ( FNACA
Berre L’Etang)
Réponse Corinne LUCCHINI
Mon Colonel,
Vous savez, vous plus que quiconque combien je suis attachée au devoir de mémoire et à l’action du Souvenir Français. Depuis 13 ans, j’ai toujours assisté aux commémorations organisées sur notre commune. J’ai écrit je ne sais combien de discours pour Monsieur le Maire à ces occasions (tous ceux qu’il a pu prononcer durant le temps où j’ai exercé mes fonctions excepté celui qui rédigé par le nouveau conseiller en communication était la copie de celui prononcé par notre actuel président de la République). Ces nombreuses rédactions de discours m’ont ainsi permis de laisser libre cours à mes sentiments vis à vis du monde des anciens combattants. Vous m’avez d’ailleurs souvent félicitée pour la teneur de mes écrits qui vous touchaient.
Depuis 2001, j’ai très régulièrement reçu les Présidents des Associations d’anciens combattants ou leurs trésoriers ainsi que le Président du S.F lors des demandes de subvention qu’elles soient de fonctionnement ou exceptionnelles. Vous m’avez, vous-même, sollicitée pour m’exposer l’un de vos projets. Notre rencontre a permis le déplacement d’un certain nombre d’anciens combattants pour assister à la cérémonie de Camerone à Aubagne. Vous avez pu constater à cette occasion combien ma volonté de prendre en considération les projets qui étaient les vôtres était évidente puisque j’ai débloqué les fonds nécessaires. Je précise que nous n’étions pas alors en période électorale…
Je crois aussi que vous avez pu prendre acte de mon respect des engagements pris puisque malgré quelques quiproquos tendant à vous faire croire que vous ne disposeriez pas des sommes sur lesquelles je m’étais engagée, au final le versement de la subvention promise a eu lieu.
Alors sans aucun problème, je peux vous affirmer que je veillerai avec attention non pas à la survie mais au développement des associations d’anciens combattants qui doivent effectivement oeuvrer pour faire perdurer le devoir de mémoire auprès des jeunes générations. Je ne cesserai de dire que si nous sommes là aujourd’hui, dans un pays où la démocratie est totale, nous le devons à ceux qui se sont battus pour nous assurer la liberté et faisant malheureusement bien souvent don de leur vie.
Je crois qu’aucun des autres présidents des AC s’interroge sur mon attachement au monde des anciens combattants. Ils le connaissent tous car aucun d’entre eux n’a jamais hésité à venir me voir pour me faire part de ses soucis. Et, je peux dire sans déformer la vérité, que j’ai toujours été là pour les écouter et tenter d’apporter autant que faire se peut des réponses et des solutions.
Il en sera donc toujours ainsi !
Au plaisir de vous voir…
Un administré de rognac a écrit le 3 février 2008 à 17:19
Le 03 fév 2008
Bonjour Madame,
Je me permets de réagir et d’apporter mon expérience suite au commentaire d’une internaute auquel vous avez récement répondu concernant le soutien de l’UMP pour une élection communale.
En effet, mon parcours professionnel m’a amené à régulièrement demenager. J’ai donc habité dans 1 commune de sensibilité opposée à la majorité de l’époque et je peux vous dire que peu de promesses avaient été menées à bien car, au dire du maire de l’époque, les subventions étaient difficiles à obtenir. En revanche, j’ai résidé dans une municipalité en phase avec la majorité et je peux vous garantir que j’ai ressenti une dynamique beaucoup plus importante. Comme vous le constaterez afin de n’apporter aucune polémique mais seulement mon témoignage, je n’ai volontairement pas cité les villes concernées ni les tendances politiques.Je note cependant que beaucoup de candidat retirent actuellement leur étiquette. La peur de la sanction ?
Salutations
Réponse de Corinne LUCCHINI
Les dernières actualités font état de quelques candidats ou maires sortants candidats qui retirent leur étiquette par peur de la sanction. Je remarque cela qu’ils soient d’ailleurs de droite ou de gauche. Je ne crois pas les Français stupides, bien au contraire.
Le choix d’un maire n’a rien à voir avec la politique nationale. Et un dernier sondage sur “Libé” confirme mes dires. Ce qui importe avant tout dans ce type d’élection, c’est la personnalité du candidat et la teneur du projet qu’il propose avec son équipe et non pas sa sensibilité politique personnelle..
Et puis, ses candidats qui retirent leur étiquette sont néanmoins connus parce qu’ils ont depuis fort longtemps affiché leur couleur politique. Ils peuvent cependant décider de conduire des listes de rassemblement et d’union comme dès le départ, j’ai choisi de le faire.
N.S a écrit le 3 février 2008 à 10:29
Le 03 fév 2008
je reçois ce jour un courrier qui m’est adressé parce que je suis présidente d’une association. Il y environ quinze jours de ça, un autre courrier m’a également été envoyé. Les deux ont été signés par M. Guillaume et un ou une de ses adjoints. Je suis indignée de leur contenu. Une liste de promesses creuses, sans intérêt qui ne m’importe peu.
Quand je vois que le tout est signé par celui que j’ai sollicité maintes fois sans jamais avoir de réponse ni à mes demandes de rendez-vous ni à mes questions. Heureusement que je vous ai à l’époque rencontré. Vous ne m’avez pas donné satisfaction mais vous avez au moins su m’en expliquer les raisons que j’ai comprises. Et j’ai apprécié. Ces courriers m’ont profondément énervée et je vous les adresse par la poste pour que vous ne puissiez pas commettre la même erreur. Mais je doute que ce soit votre genre.
Bon courage, continuez j’aime votre façon d’expliquer vos motivations et votre projet.
Réponse de Corinne LUCCHINI
Madame, soyez certaine que vous n’êtes pas la seule présidente qui m’ait transmis lesdits courriers. Et je tiens à vous rassurer, effectivement, ma démarche est toute autre.
Aujourd’hui même un courrier a été adressé à l’ensemble des Présidents d’associations. Cette lettre, je l’ai personnellement rédigée. Il était important pour moi que vous compreniez la démarche qui est la mienne. J’espère que vous y adhèrerez et que vous n’hésiterez pas à me contacter afin que nous puissions bénéficier de votre collaboration active à l’éboration de notre programme définitif, notamment en ce qui concerne le tissu associatif que j’entends mettre au coeur de notre projet.
Comme j’ai pu le faire pendant mes fonctions de 1ère adjointe, je propose une nouvelle fois la rencontre et le débat. Tandis que d’autres se retranchent comme toujours derrière de jolies phrases dénuées du sens de l’engagement, je veux vous présenter et adapter nos propositions, parce que je ne crois pas qu’en votre qualité de présidente, vous attendiez un catalogue 3 suisses des manifestations que l’on souhaite mettre en place.
Il me paraît plus important de savoir exactement quelles sont vos difficultés, vos projets, vos besoins pour permettre le meilleur développement possible de vos activités associatives. Enfin, c’est pour ma part comme cela que j’entends oeuvrer.
L’écoute, le dialogue et la concertation mais aussi l’échange direct ne peuvent être remplacés par un simple courrier. Où est donc le candidat signataire de ces courriers ? Beaucoup de Rognacais commencent à se poser la question. A-t-il peur d’être confronté aux questions ? A-t-il peur de faire face aux objections ? A-t-il peur de devoir faire face à la lucidité de sa population qui a compris depuis fort longtemps le peu d’intérêt qui lui était accordée par celui qui clame avoir sa ville chevillée au corps ?…
Je laisse comme toujours les Rognacais juges de ces pratiques et chaque jour je constate que la lucidité de chacun devient de plus en plus évidente
Nadia a écrit le 2 février 2008 à 15:33
Le 02 fév 2008
Madame,
Je vous connaissez avant et vous ne faisiez pas de politique. Pourquoi aujourd’hui défendre un parti et qui plus est celui du président ? C’est dommage parce que dans une ville on ne fait pas vraiment de politique.
Réponse de Corinne LUCCHINI
Vous avez raison Madame, pendant plus de douze ans, je n’ai pas fait état de mes convictions politiques et cela me convenait fort bien. Cependant ma position de candidate aux élections en vue de devenir Maire change mon approche et je tiens à vous en expliquer les raisons pour qu’il n’y ait pas de confusion possible.
Les candidats tête de liste sans étiquette choisissent volontairement cette démarche dans la seule intention de ratisser large. L’expression est connue, il s’agit de ne pas heurter l’électorat qui ne sachant pas où se situe ledit candidat sur l’échiquier politique n’est pas influencés par la défense de ses propres convictions. Je ne cautionne en aucun cas cette attitude que je qualifie d’hypocrite. Nous avons tous nos convictions Madame et je ne crois pas qu’il faille en rougir.
Pour ma part, mes valeurs sont à droite, mais je respecte tout autant les gens de gauche. Je ne prétends pas que les bonnes idées se trouvent uniquement dans mon camps politique. Et pour preuve, dans le cadre de cette élection communale, j’ai choisi de conduire une liste de rassemblement et d’union, une liste d’ouverture tout simplement qui est composée d’hommes et des femmes venus de tout horizon notamment politique.
Ce qui m’importe ce n’est pas de connaître les opinions ou le clan auquel peuvent appartenir mes colistiers. Ce qui m’importe avant tout, c’est de cerner leur motivation, le pourquoi de leur engagement et ce qu’ils peuvent apporter à Rognac au sein d’une équipe municipale. Ne croyez-vous comme moi que c’est là l’essentiel !
Alors, les discours notamment de mes opposants politiques voulant me décrire comme la femme d’un parti, aux seules fins d’assouvir mon ambition personnelle ne tiennent pas la route. J’ai pour ma part le soutien de l’UMP et ai choisi volontairement de ne pas avoir l’investiture pour pouvoir mener cette liste d’ouverture et d’intérêt communal. J’ai donc toute latittude pour agir sans influence d’un parti.
Maintenant, je voudrais apporter une précision à notre population qui me semble capitale. Je peux en parler car je viens de vivre cette expérience avec le maire “sans étiquette” qui a représenté Rognac à la suite de Monsieur BATIGET, maire socialiste respecté.
Pour imager, pendant presque 7 années, nous avons malheureusement vu passer les trains porteurs de projets devant notre ville sans jamais pouvoir les arrêter. Les appuis politiques nous ont tout simplement manqué. C’est totalement utopique de penser que l’on peut se passer de ces derniers. Un maire officiellement marqué politiquement, a de grandes chances, lorsque les trains de son “clan” passent à proximité, de les faire arrêter et lorsqu’il s’agit des trains de l’opposition, les conducteurs se disent qu’il vaut mieux s’y arrêter de temps en temps parce que si la donne change et qu’un jour ils ne sont plus les conducteurs, ils auront alors une chance de bénéficier de quelques arrêts.
Alors, pour Rognac, je ne veux pas faire partie de ces maires qui ne font que regarder les trains passer. Je souhaite vivement les voir s’arrêter à Rognac et cela dans l’intérêt de notre population qui y trouvera forcément son compte en termes d’emploi, d’économie, de culture et plein d’autres choses encore !
J’espère ainsi avoir répondu à vos interrogations.