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ANNEE 2008 - à partir du 16 mars 2008
Par moderateuraepr Le 31 déc 2008
SOMMAIRE
INDECENT !!! LA MAJORITE GUILLAUME S'OCTROIE DES AVANTAGES REFUSES A LA POPULATION
RESULTATS DES ELECTIONS CANTONALES DES 7 & 14 DECEMBRE 2008
GASPILLAGE EN VUE OU PROMESSES ELECTORALES NON TENUES ???
QU'EN EST-IL DU RECOURS ELECTORAL DEVANT LE TRIBUNAL ADMINISTRATIF ?
UNE DECISION A L'ECOLE DE MUSIQUE QUI PESE SUR LE BUDGET DES FAMILLES
LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES EPINGLE ROGNAC POUR TRAVAUX PAYES NON REALISES ET SA GESTION DES MARCHES rapportcrccomment.pdf (graves irrégularités dans la délégation de l'adjoint aux travaux Daniel DE SIO , actuel 1er adjoint ) INTERVIEW de Corinne LUCCHINI interview.pdf
ATTENTION : REOUVERTURE DE L'AIRE D'ACCUEIL DES GENS DU VOYAGE : une décision qui aurait pu passer inapperçue...
QU'EN EST-IL DU SORT DE POLIGNY, centre de vacances municipal ?
TRISTE SAISON ESTIVALE A ROGNAC EN 2008 !!!
LE CONTROLE DE LA LEGALITE DE LA SOUS PREFECTURE CONTRAINT LE MAIRE A ANNULER LA PROMOTION D'UN POLICIER MUNICIPAL
1er CONSEIL MUNICIPAL ..... 1ère DUPERIE DE LA MAJORITE GUILLAUME
Par moderateuraepr Le 20 déc 2008
QUAND LA MAJORITE DE M. GUILLAUME EN ACCORD AVEC LES ELUS DE MM. SIMEON ET AUTECHAUD DECIDE DE S'OCTROYER DES AVANTAGES QU'ELLE REFUSE A LA POPULATION ...
LA MISE A DISPOSITITION DU CHATEAU DE LA PLANTADE AUX CONSEILLERS MUNICIPAUX :
Jusqu’à présent, seules les associations rognacaises et les membres du personnel municipal jouissaient du droit à louer les salles de réception du château de la Plantade pour des évènements familiaux ou associatifs. Or, sans aucun scrupule, la majorité municipale, et les élus des groupes de MM. AUTECHAUD et SIMEON, par voie de délibération, ont officiellement offert ce privilège aux membres du conseil municipal.
Comment ne pas s’insurger contre une décision aussi indécente lorsqu’on sait que le Rognacais lambda, contrairement à ceux qui ont en charge la gestion de notre ville, est exclu de ce dispositif et est toujours contraint de mettre la main au portefeuille de manière conséquente pour obtenir une location similaire !!!
Résultats des élections cantonales des 7 et 14 décembre 2008
Par moderateuraepr Le 17 déc 2008
RESULTATS DES ELECTIONS CANTONALES DES 7 ET 14 DECEMBRE 2008 (lire en bas de page l'analyse politique)
Bien que sollicitée dès l’annonce de l’organisation de cette élection, je vous avoue avoir décliné la proposition de porter les couleurs de l'UMP. Non pas que je renie mes convictions, au contraire, mais n'étant pas carriériste, il ne m'a pas semblé que mon engagement au profit de Rognac pourrait ainsi en être accru. Les résultats ont cependant été d'un enseignement très précieux.
electionscantonalespartielles2008.pdf
Une rapide analyse politique :
M. AUTECHAUD, communiste, est arrivé 1er à Rognac (528) en mobilisant à une voix près son électorat des municipales qui lui fait tout juste dépasser les 10% (529) aux élections municipales. Un bémol cependant : comment ne pas être outré par son désistement qui est vécu comme un véritable manque de respect vis à vis de ses électeurs ? La politique demande du courage et même si sa défaite était une évidence, il se devait d’aller jusqu’au bout…
M. VENTERELLI, a réclamé le flambeau de l’UMP du fait de ma non candidature. A Rognac, sa seconde position derrière le parti communiste interpelle mais n’étonne malheureusement personne. D'ailleurs, son score (469 ) alors qu’il revendiquait le soutien de toutes les formations politiques de droite est à peine plus élevé que celui qu’il avait atteint sur sa personne aux élections municipales de 2003 (377). Ainsi, il n’avait pas réussi à passer le 1er tour. Il en est de même cette fois-ci au niveau du canton où sur l’ensemble des trois villes, il arrive en 3ème position avec 15,55 % des voix. La droite accuse ainsi un recul puisque Mme SILVY (UMP) et M. LACROIX (alors divers droite) totalisaient plus de 20%.
Quant à M. MARTINET, socialiste et représentant berrois, s’il est le vainqueur de cette élection sur le canton, il arrive pour sa part en 3ème position sur notre commune avec un faible score (450). Il ne recueille donc pas l’assentiment des Rognacais malgré le fait que la majorité actuelle soit totalement asservie à la ville de Berre.
Cette élection restera incontestablement dans les mémoires notamment à Rognac avec un taux d’abstention de près de 94 % et un sentiment de gâchis de l’argent public à l’occasion de l’organisation de ce 2ème tour totalement inutile mais conforme à la loi.
Corinne LUCCHINI
Par moderateuraepr Le 02 déc 2008
GASPILLAGE EN VUE ou PROMESSES NON TENUES ???
MAUVAISE PROGRAMMATION DE TRAVAUX
=
LOURDE FACTURE INUTILE A LA CHARGE DES CONTRIBUABLES ROGNACAIS
Un des rares chantiers estivaux de la municipalité consistait en la pose d’un revêtement spécial essentiellement mis en œuvre au pied des arbres du boulevard Jean Jaurès haut et Bas et du parking du CAM. Les Rognacais auraient pu grandement s’en réjouir pour des raisons de sécurité si la majorité n’avait pas promis, lors des dernières élections, la prochaine réfection totale de ces lieux !!! En effet, pour comparaison, tout bricoleur, digne de ce nom, ne commencerait jamais un chantier de rénovation par les finitions. C’est malheureusement le cas à Rognac !!! 84.000 € H.T viennent ainsi d’être dépensés. N’aurait-il pas été préférable de procéder à la mise en œuvre d’un simple tout venant au pied de ces arbres en attendant la suite des travaux… Mais en fait, une question vient maintenant à l’esprit : les engagements de la majorité en termes de rénovation totale de ce boulevard et de ce parking sont-ils réels et programmés ? Si tel est le cas, une très grande part des 84.000 € consacrés à la pose de ce revêtement très coûteux financée par les impôts des contribuables que nous sommes tous, aura alors été gaspillée, parce que dépensée dans la précipitation sans véritable réflexion. Ou bien cela était-il une simple promesse électorale dont les Rognacais auront alors uniquement à se contenter ??? Affaire à suivre…
Qu'est-il advenu du recours électoral intenté devant le Tribunal Administratif ?
Par moderateuraepr Le 03 nov 2008
QU'EST-IL ADVENU DU RECOURS ELECTORAL INTENTE DEVANT LE TRIBUNAL ADMINISTRATIF ?
Le 21 mars 2008, Mme Corinne LUCCHINI déposait un recours électoral au motif d'infractions au code électoral. Six mois auparavant, avant même de connaître les résultats des élections, ayant eu connaissance de l'utilisation illégale des moyens humains et matériels de collectivité par le candidat JP Guillaume, maire sortant, six courriers accompagnés de preuves flagrantes ont été adressés à la Commission nationale des Comptes de Campagne, chargée de valider après élection, les comptes de campagne des différents candidats. (voir les mémoires ) memoireenrpliquelection.pdf et mmoireenrplique2.pdf
Le compte de campagne du candidat Guillaume a pour cela été réformé et il a du s'expliquer sur la teneur de ses dépenses. Le 29 septembre 2008, à l'audience du Tribunal Administratif, le commissaire du gouvernement réclamait ainsi l'inéligibilité de Monsieur Guillaume pour un an au motif de l'infraction à l'article L52-8 du code électoral prohibissant l'utilisation des moyens d'une collectivité. En effet, l'utilisation du directeur du service communication M. LE RUDULIER, récompensé par la suite pour ses services payés par les contribuables en étant promu au poste de directeur de cabinet, était selon ses dires prouvée par les différents documents produits au dossier. (cliquez ici pour connaitre les conclusions du commissaire du gouvernement
L'utilisation du personnel communal pour les besoins d'une campagne électorale constitue un don en nature de la part d'une personne morale de droit public et un tel don tombe sous l'interdiction édictée. La bonne foi de M. Guillaume n'étant en aucun cas établie, le commissaire du gouvernement déclarait que la mise à disposition de ce personnel évaluée à plusieurs milliers d'euros (5 mois de salaire, charges patronales incluses) était incontestable et sa nature entraînait le rejet du compte de campagne en application de l'article L 118-3 du code électoral et par là même l'inéligibilité du candidat Guillaume.
Il faut savoir que les conclusions du commissaire du gouvernement sont dans plus de 95 % des cas de contentieux électoraux suivies par les juges du T.A. Or, dans les 24 heures, alors que toutes les cours de justice se disent saturées, le jugement était rendu, rédigé, expédié par voie de poste et la requête de Mme LUCCHINI se voyait rejetée sans aucun motif.
(La justice de ce pays a certainement besoin d'être réformée et les juges, malgré l'indépendance nécessaire et réclamée, d'être un peu plus contrôlés pour éviter que "les manches" existent et que les erreurs judiciaires aient lieu)
Seule solution alors : porter l'affaire devant le conseil d'Etat.
L'analyse du dossier, classifié comme "en béton" par des experts juridiques spécialisés dans le recours électoral incitait à cette démarche. Mais après réflexion, cet appel n'a pas été engagé au seul motif que l'inéligibilité du maire n'entraînait pas de nouvelles élections et qu'il était déjà acté par l'équipe de M. GUILLAUME que l'adjoint aux travaux, M. DE SIO serait désigné par le vote des conseillers municipaux de la majorité comme son successeur (seuls les élus procédent en interne à l'élection du maire).
Dans l'intérêt de la ville et de ses habitants, lorsqu'on connaît le personnage en question et ses méthodes, il était préférable de laisser en l'état le résultat des urnes.
Mais chacun devrait s'interroger sur le non respect de la loi évident du Maire de Rognac. Que chacun s'interroge sur ce qui était scrupuleusement appelé durant la campagne "la mise en avant d'intérêts personnels".
Pour ma part, être élu c'est servir et non pas se servir.
Sans doute ce principe n'est-il pas celui du maire, de son 1er adjoint Daniel De Sio, responsable de la campagne et de l'équipe municipale en place qui avait pleinement conscience de cette infraction et qui pas plus scrupuleuse du respect de loi que ses dirigeants a feint de n'en rien savoir...
Corinne LUCCHINI
ENCORE UNE DECISION DIFFICILE POUR LES FAMILLES...
Par moderateuraepr Le 27 oct 2008
UNE DECISION STUPIDE ET INUTILE QUI VA PESER DANS LE BUDGET DES FAMILLES !!!
L’INSTAURATION DE LA CAUTION VALEUR A NEUF LORS DE LA LOCATION D’INSTRUMENTS MUSICAUX :
L’école municipale de musique loue aux élèves qui en font la demande les instruments. Au fil des années, la commune amortit ainsi le coût d’achat de ces matériels. Malgré notre argumentation pour l’instauration d’un coefficient de vétusté, en toute incohérence, il a été décidé par la majorité et les deux autres groupes d’opposition de fixer désormais la caution sur la valeur à neuf des instruments loués contraignant ainsi les parents, pour des raisons d’assurances, à acquérir des matériels d’occasion plutôt que de procéder à leur location.
Soulignons que l’adjointe à la culture, Mme Giannarelli, a clos le débat en ces termes (sic) : Peu importe que ces nouvelles dispositions conviennent ou pas aux parents : en cas de désaccord, ces derniers peuvent toujours aller voir ailleurs… » ! Notre groupe a bien entendu voté contre.
publication du rapport de la CRC
Par moderateuraepr Le 10 oct 2008
LE RAPPORT
DE LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES
EPINGLE ROGNAC SUR SA GESTION DES MARCHES
La chambre régionale des comptes étudie depuis 2006 la gestion de la commune de Rognac sur la période 1998 / 2006. Son rapport vient d'être rendu public et met en exergue de graves irrégularités dans la délégation travaux gérées par l'adjoint aux travaux Daniel Dé SIO, actuel 1er adjoint ) rapportcrccomment.pdf
Vous trouverez en cliquant sur le document joint l'analyse de Corinne LUCCHINI interview.pdf
REOUVERTURE DE L'AIRE D'ACCUEIL DES NOMADES
Par moderateuraepr Le 03 oct 2008
ATTENTION
REOUVERTURE DE L'AIRE D'ACCUEIL DES NOMADES
UNE DECISION QUI AURAIT PU PASSER INAPERCUE…
Quelle ne fut pas la satisfaction des Rognacais en 2007 lors de la disparition de la pseudo aire d’accueil des gens du voyage située à proximité de la déchetterie. Cette dernière faisait surtout office de décharge publique et de plus, une grande majorité d’étrangers, installés en toute illégalité sur notre territoire (dont certains trafiquants) y avaient trouvé refuge. C’est ainsi que de l’or, des bijoux et des sommes importantes en espèces avaient été saisis en ces lieux lors d’une descente musclée de police.
Seule la présence en sous-sol de pipelines a permis de mettre en avant l’existence d’un potentiel danger sur ces lieux et ainsi, le préfet et les forces de police avaient du procéder à l’expulsion de ces résidents pour le moins peu soucieux de l’environnement et de la salubrité.
Or, faisant abstraction de ces antécédents, la municipalité pleinement soutenue par les deux autres groupes d’opposition vient de procéder à la réservation sur le Plan d’occupation des Sols de notre ville de ce même emplacement en vue de la création d’une nouvelle aire d’accueil des gens du voyage.
Malgré l’obligation faite aux communes de plus de 5000 habitants de disposer d’un tel équipement, il est inconcevable qu’un tel projet voit de nouveau le jour en ces lieux. Et cela d’autant plus, qu’à l’époque, lorsque les subventions de fonctionnement et d’investissement étaient accordées à hauteur de 90 %, le Préfet avait catégoriquement refusé une telle installation en ces lieux. Une réflexion sur un projet intercommunal avec Berre et Velaux avait ainsi été entamée. Interrogé, le Maire a fait part de sa volonté d’abandonner totalement cette idée pour implanter de nouveau une aire d’accueil sur cette zone dangereuse et cela malgré les avis défavorables du commissaire enquêteur et du groupe AGIR ENSEMBLE POUR ROGNAC.
Aujourd’hui, Rognac va donc devoir construire et assumer pleinement à la charge des contribuables, les frais de fonctionnement et de création ainsi que le surcoût généré par les prescriptions incontournables à mettre en œuvre pour minimiser le danger potentiel du à la présence de pipelines. De plus, toujours pour des raisons de coût, le gardiennage permanent d’une telle structure est totalement inenvisageable. Alors, d’ici peu les sociétés avoisinantes verront leurs activités mises une fois encore en péril et les Rognacais leur environnement une énième fois détérioré.
Les élus dans leur politique sécuritaire ou d’aménagement du territoire doivent parfois faire preuve de fermeté contre les autorités et maintenir leur position pour défendre le cadre de vie de leurs administrés. Nous constatons malheureusement que ce n’est plus le cas à Rognac !
Corinne LUCCHINI
QU'EN EST-IL DU SORT DE POLIGNY, centre de vacances de Rognac ?
Par moderateuraepr Le 27 sept 2008
QU'EN EST-IL DU SORT DE POLIGNY,
centre de vacances de Rognac ?
Mais surtout, qu’en est-il des promesses électorales de la majorité…. Briguer un mandat municipal, c’est se montrer digne de confiance ! Si 62 % des Rognacais n’attendaient rien des promesses de M. Guillaume, la réalité des faits commence à anéantir les illusions ou les espérances des autres. Un des principaux engagements du Maire s’envole avec la fermeture définitive de Poligny alors qu’il s’était personnellement engagé, notamment auprès des anciens, à maintenir cette structure ouverte. Rappelons qu’il avait inscrit la mise en conformité et la modernisation de Poligny dans son programme électoral. Frais de gestion et de remise en état trop importants sont aujourd’hui invoqués malgré un coût d’exploitation connu et un chiffrage précis des futurs travaux par un cabinet d’expertise dès août 2007 !!! Les politiques qu’elles soient sociales, culturelles, sportives…coûtent cher et relèvent de choix politiques déclinés par les candidats sérieux durant les campagnes électorales. Les électeurs se déterminent ainsi en connaissance de cause ! Aussi, comment ne pas s’insurger contre la démarche en amont et en aval de la décision de la majorité qui aurait pu être prise depuis plus d’un an.
Poligny est fermé depuis l’été 2007 cependant 300.000 € d’impôts acquittés par les Rognacais, soit 2 millions de francs, ont déjà été dépensés à pure perte, en partie pour la rémunération du personnel inactif.
Aussi reporter volontairement la décision officielle du conseil municipal de juin à septembre confirme, s’il le fallait encore, l’inconsistance de la majorité plus soucieuse de feindre une pseudo concertation de la population que d’éviter un gaspillage supplémentaire des deniers publics. Alors que le personnel a été informé officiellement début juillet de cette fermeture définitive, faute de délibération du conseil, aucune démarche administrative n’a pu être engagée pour entamer la liquidation. Les initiés de la gestion publique, qui auraient pu à l’époque comparer le programme électoral de la majorité à un catalogue de promesses démagogiques, voient aujourd’hui leurs craintes confirmées et l’instauration d’une gestion financière fantaisiste et pour le moins irresponsable ….
Corinne LUCCHINI
TRISTE SAISON ESTIVALE 2008 A ROGNAC
Par moderateuraepr Le 17 août 2008
TRISTE SAISON ESTIVALE A ROGNAC EN 2008
Au mépris des habituels vents locaux qui rendent impossible la bonne stabilité d’une embarcation de grande superficie sur l’étang, mais pire encore, des dangers potentiels de la route nationale 113 et l’impossibilité d’y installer les dispositifs de sécurité indispensables à un rassemblement massif du public, le tir du feu d’artifice a été prévu cet année à la base nautique. Inévitablement, ce dernier a du être annulé sans que les frais de déplacement de la barge et de dédit ne puissent l'être eux aussi.
Ainsi une facture de plus de 10.000 € a été acquittée à pure perte sur les deniers publics.
Au-delà de l’absence du feu d’artifice,la déception des Rognacais fut grande et peut-être aurait-elle pu être amoindrie si cette manifestation avait été reportée à l’occasion des festivités du mois d’août. Ce ne fut pas le cas ! Mais plus encore, c’est un véritable mécontentement qui est né à l’annonce de la non programmation du traditionnel bal du 13 ou 14 août. Motif invoqué dans le message municipal : souci d’économie et prétendue participation insuffisante des Rognacais en période estivale. Alors que selon l’INSEE 50 % des Français ne partent pas malheureusement en vacances, faut-il rappeler qu’en 2006, la sardinade prévue initialement en juillet et reportée au 15 août avait déplacé les foules en masse.
Il est à remarquer que contrairement aux engagements municipaux prévoyant une programmation festive et culturelle étoffée tout au long des mois de l’année, la saison estivale 2008 a fait l'objet de sérieuses restrictions !!! Pour preuve encore, la fête espagnole, indéniable succès, mais néanmoins programmée le 21 juin en substitution de la fête nationale de la musique.
La Presse locale soulignait d'ailleurs cette agonie des animations et s'interrogeait ainsi (sic) : "M. CASIMIR,adjoint aux festivités, aura sans doute envie de se pencher sur la questions dès son retour de congés ???".
Corinne LUCCHINI
Par moderateuraepr Le 12 juil 2008
Ruses, stratégies et tactiques des pervers narcissiques
Séduction, jeu sur les apparences
Contrairement au pervers de caractère, qui irrite son entourage par ses revendications et nie radicalement l’autre, le pervers narcissique, lui, réussit à créer un élan positif envers lui. Comme toute personne manipulatrice, il sait se rendre aimable.
Il excelle à susciter, amplifier et faire alterner chez l'autre regrets et peurs.
Dissimulation
Le pervers agit à l’abri des regards. Les maltraitances sont rarement sous le feu des projecteurs, mais plutôt perpétrées dans le secret des alcôves. Les pervers sont les professionnels de la double vie et de la double personnalité.
Mimétisme
Ce sont de véritables caméléons, aptes à mimer les attitudes et les paroles de son interlocuteur pour susciter chez lui l'illusion d'un accord parfait, d'une entente exceptionnelle qui ne cesse de s'approfondir. Le mimétisme est d’ailleurs l'une des techniques employée par la Programmation neuro-linguistique.
Diviser, cloisonner ses relations
Vous encenser pour mieux vous couler
Il commence par vous encenser. Vous êtes le meilleur, le plus doué, le plus cultivé… Personne d'autre que vous ne compte pour lui (il n'hésite d'ailleurs pas à dire la même chose successivement à plusieurs personnes). Ces éloges et ces protestations d'attachement lui permettent de mieux « vous couler » ensuite en jouant sur l'effet de surprise, et de vous atteindre d'autant plus que vous ne vous attendiez pas à l'attaque et qu'il a en outre pris soin de choisir précisément le moment où vous pouviez le moins vous y attendre.
Se valoriser sans cesse et dévaloriser l’autre
Les narcisses cherchent à évoluer sous les feux de la rampe, à choisir des situations où d'autres pourront les admirer. Ils veulent capter l'attention de leurs semblables qu'ils considèrent, par ailleurs, comme de simples faire-valoir, victimes potentielles qu’ils n'hésiteront pas à critiquer en public, souvent insidieusement.
Le principe d’autorité
Il utilise son pouvoir de séduction, ses talents de comédien, son apparence de sérieux, toutes les facettes de ses « personnalités » pour s'imposer. Il aime arrêter toute discussion par quelque phrase définitive, utilisant le principe d’autorité : « Je suis malade ! », ou bien « Tu te rends compte de ce que tu me demandes ! », « Je ne peux pas discuter avec toi pour l’instant, tu vois bien que je suis pris ».
L’induction (suggérer l’idée à l’autre)
La grande force du pervers narcissique est l'art de l'induction. Il s'applique à provoquer chez l'autre des sentiments, des réactions, des actes, ou, au contraire, à les inhiber. Il fonctionne en quelque sorte comme un magicien maléfique, un hypnotiseur abusif, utilisant successivement injonctions et séduction. Evitant d'exprimer à l'autre ce qu'il pense, de l'éclairer sur ses intentions, il procède par allusion, sans jamais se compromettre. Pour mieux duper, il suscite chez l'autre un intérêt pour ce qui va faire l'objet de la duperie, qu'il va rendre aussi alléchant que possible sans jamais en parler ouvertement. Etalant connaissances, savoir, certitudes, il va pousser l'autre à vouloir en savoir plus, à convoiter l’objet en question et à exprimer son désir de se l’approprier.
Il procède de la même façon s’il a l'intention a priori de refuser quelque chose. L'autre, qui n'avait pas l'idée de demander quoi que ce soit, va se sentir pris à contre-pied sans savoir exactement pourquoi : il se promettra alors de ne jamais demander quelque chose, il doutera de sa propre honnêteté, ou même se sentira suspect, entrant inconsciemment dans le jeu du pervers narcissique. Ce dernier, pour prendre l'ascendant sur sa « victime », assortira volontiers son discours d'un message moralisateur et s'affichera comme un être « noble et pur », contraignant l'autre qui ne veut pas être repoussé à s'identifier à cette morale, que cela soit dans l’acceptation ou le refus de la chose suggérée.
Faisant parler le pervers narcissique, Alberto Eiguer écrit : « Il faudrait que vous agissiez de sorte qu'il ne reste aucun doute que vous êtes moi... et que tout ce que vous faites, dites ou éprouvez, confirme que je suis le seul, moi, le plus grand et cela même au prix de votre propre disqualification ». On touche ici au fondement de l'induction narcissique.
Contradictions ou contradictions apparentes
Un jour, relâchant sa vigilance, content et fier de son coup, le pervers narcissique pourra même se vanter auprès de tiers auxquels il prête ses propres pensées, de son succès, l'autre l'avait mérité, puisqu’il « n'avait qu'à ne pas être si bête et si naïf ».
Mais même quand les contradictions de son comportement éclatent semant alors le doute sur sa personnalité, ses intentions ou sa sincérité, il parvient le plus souvent à rattraper ses erreurs et à restaurer la belle image de lui-même qu'il a laissée se fissurer par manque de prudence. Il affirmera alors, par exemple, qu’il a plaisanté et qu’il ne
cherchait qu’à tester son interlocuteur.
La plupart du temps, on lui pardonnera malgré tout, parce qu'il sait se rendre sympathique et surtout parce qu’il a toujours une explication pour justifier un comportement soudain contradictoire. L’erreur « désastreuse » sera mise sur le compte d’une faiblesse momentanée, d'une fatigue, d’un surmenage, d’une maladie. Finalement, on se dira que toute personne « parfaite » est faillible.
« Le pervers narcissique, […] aime la controverse. Il est capable de soutenir un point de vue un jour et de défendre les idées inverses le lendemain, juste pour faire rebondir la discussion ou, délibérément, pour choquer. » (Marie-France Hirogoyen, Le Harcèlement moral, page 108)
Emploi de messages paradoxaux
Le pervers narcissique se complaît dans l'ambiguïté. Par ses messages paradoxaux, doubles, obscurs, il bloque la communication et place sa victime dans l'impossibilité de fournir des réponses appropriées, puisqu'elle ne peut comprendre la situation. Elle s'épuise à trouver des solutions qui seront par définition inadaptées et rejetées par le pervers dont elle va susciter les critiques et les reproches. Complètement déroutée, elle sombrera dans l'angoisse ou la dépression (voir Marie-France Hirigoyen, « Le Harcèlement Moral », « La communication perverse », p. 111).
Calomnies et insinuations
« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ! » (Beaumarchais).
Le pervers narcissique a le talent de diffamer sans avoir l’air d'y toucher, prudemment, en donnant l’apparence de l’objectivité et du plus grand sérieux, comme s’il ne faisait que rapporter des paroles qui ne sont pas les siennes. Souvent il ne porte pas d’accusation claire, mais se contente d'allusions voilées, insidieuses. À la longue, il réussira à semer le doute, sans avoir jamais prononcé une phrase qui pourrait le faire tomber sous le coup d’une accusation de diffamation.
Il usera du pouvoir de la répétition et ne cessera pas de semer le doute sur l’honnêteté, sur les intentions de l’adversaire qu'il veut abattre s'appuyant sur la tendance humaine à croire « qu’il n’y a pas de fumée sans feu ».
Fausse modestie
Lors de l’utilisation de la technique de l’induction (voir plus haut), il se présente bien volontiers comme une personne modeste, n’osant pas proposer ses solutions ou l’objet de sa duperie (l’appât), l’objet qu’il veut soumettre à la convoitise de l’autre.
Comme un rusé paysan, il est capable parfois de se faire passer pour bête et naïf, prêchant le faux pour savoir le vrai. Un très bon moyen de guerre psychologique pour tirer les vers du nez d’une personne trop pleine de certitudes.
Confusion des limites entre soi et l'autre
Le pervers narcissique n'établit pas de limites entre soi et l'autre. Il incorpore les qualités de l'autre, se les attribue pour pallier les faiblesses de sa véritable personnalité et se donner une apparence grandiose. Ces qualités qu'il s'approprie, il les dénie à leur véritable possesseur, cela fait partie intégrante de sa stratégie de la séduction. « La séduction perverse se fait en utilisant les instincts protecteurs de l'autre. Cette séduction est narcissique : il s'agit de chercher dans l'autre l'unique objet de sa fascination, à savoir l'image aimable de soi. Par une séduction à sens unique, le pervers narcissique cherche à fasciner sans se laisser prendre. Pour J. Baudrillard, la séduction conjure la réalité et manipule les apparences. Elle n'est pas énergie, elle est de l'ordre des signes et des rituels et de leur usage maléfique. La séduction narcissique rend confus, efface les limites de ce qui est soi et de ce qui est autre. On n'est pas là dans le registre de l'aliénation - comme dans l'idéalisation amoureuse où, pour maintenir la passion, on se refuse à voir les défauts ou les défaillances de l'autre -, mais dans le registre de l'incorporation dans le but de détruire. La présence de l'autre est vécue comme une menace, pas comme une complémentarité. »
(Marie-France Hirigoyen, Le Harcèlement Moral, p. 94).
Utilisation de fausses vérités énormes ou crédibles
La communication perverse est au service de cette stratégie. Elle est d'abord faite de fausses vérités. Par la suite, dans le conflit ouvert, elle fait un recours manifeste, sans honte, au mensonge le plus grossier.
« Quoi que l'on dise, les pervers trouvent toujours un moyen d'avoir raison, d'autant que la victime est déjà déstabilisée et n'éprouve, au contraire de son agresseur, aucun plaisir à la polémique. Le trouble induit chez la victime est la conséquence de la confusion permanente entre la vérité et le mensonge. Le mensonge chez les pervers narcissiques ne devient direct que lors de la phase de destruction, comme nous pourrons le voir dans le chapitre suivant. C'est alors un mensonge au mépris de toute évidence. C'est surtout et avant tout un mensonge convaincu qui convainc l'autre. Quelle que soit l'énormité du mensonge, le pervers s'y accroche et finit par convaincre l'autre. Vérité ou mensonge, cela importe peu pour les pervers : ce qui est vrai est ce qu'ils disent dans l'instant. Ces falsifications de la vérité sont parfois très proches d'une construction délirante. Tout message qui n'est pas formulé explicitement, même s'il transparaît, ne doit pas être pris en compte par l'interlocuteur. Puisqu'il n'y a pas de trace objective, cela n'existe pas. Le mensonge correspond simplement à un besoin d'ignorer ce qui va à l'encontre de son intérêt narcissique. C'est ainsi que l'on voit les pervers entourer leur histoire d'un grand mystère qui induit une croyance chez l'autre sans que rien n'ait été dit : cacher pour montrer sans dire. » (Marie-France Hirigoyen, Le Harcèlement moral, page 94)
Il use d'un luxe de détails pour éteindre la vigilance de ses proches. « Plus le mensonge est gros, plus on a envie d'y croire. »
Se poser en victime
Lors des séparations, les pervers se posent en victimes abandonnées, ce qui leur donne le beau rôle et leur permet de séduire un autre partenaire, consolateur.
Il peut se faire passer pour faible, pour le « chien perdu sans collier », prendre la mine de chien battu, les yeux tristes, dont voudront alors justement s’occuper les femmes maternelles, dévouées, celles ayant une vocation de dame patronnesse, celles n’existant que par le dévouement à autrui, celles qui deviendront souvent leurs future victime. Cela afin de mieux faire tomber dans ses filets
Il a d’ailleurs un talent fou pour se faire passer pour une victime. Comme il a un talent fou, pour se faire passer pour malade ou irresponsable ou tirer profit d’une maladie (imaginaire ou réelle), d’un accident, user ou abuser d’un handicap réel etc.
Création d’une relation de dépendance
L'autre n'a d'existence que dans la mesure où il reste dans la position de double qui lui est assignée. Il s'agit d'annihiler, de nier toute différence. L'agresseur établit cette relation d'influence pour son propre bénéfice et au détriment des intérêts de l'autre. « La relation à l'autre se place dans le registre de la dépendance, dépendance qui est attribuée à la victime, mais que projette le pervers [sur l’autre]. A chaque fois que le pervers narcissique exprime consciemment des besoins de dépendance, il s'arrange pour qu'on ne puisse pas le satisfaire : soit la demande dépasse les capacités de l'autre et le pervers en profite pour pointer son impuissance [celle de sa victime], soit la demande est faite à un moment où l'on ne peut y répondre. Il sollicite le rejet car cela le rassure de voir que la vie est pour lui exactement comme il avait toujours su qu'elle était » (Marie-France Hirigoyen, « Le Harcèlement Moral », page 115).
Inhiber la pensée critique de la victime
Lors de la phase d'emprise, la tactique du pervers narcissique est essentiellement d'inhiber la pensée critique de sa victime. Dans la phase suivante, il provoque en elle des sentiments, des actes, des réactions, par des mécanismes d'injonction ou d’induction. « Si l'autre a suffisamment de défenses perverses pour jouer le jeu de la surenchère, il se met en place une lutte perverse qui ne se terminera que par la reddition du moins pervers des deux. Le pervers essaie de pousser sa victime à agir contre lui (et à la faire agir d’une façon perverse) pour ensuite la dénoncer comme « mauvaise ». Ce qui importe, c'est que la victime paraisse responsable de ce qui lui arrive ». (Marie-France Hirigoyen, « Le Harcèlement Moral », page 122).
Le plus dur pour la victime est de ne pas rentrer dans le jeu, en particulier le jeux des conflits artificiels, provoqués par le pervers.
Tactique du harcèlement moral pervers
Isoler quelqu'un, refuser toute communication, ne pas lui transmettre de consignes, multiplier les brimades, ne pas lui donner de travail ou un travail humiliant, au contraire, lui donner trop de travail ou un travail largement au dessus de ses compétences etc... les cas de figure du harcèlement moral, du bizutage ou du mobbing, telles sont les tactiques du harcèlement moral, pouvant se décliner à l’infini.
Selon la définition la plus courante « Le harcèlement moral est un ensemble de conduites et de pratiques qui se caractérisent par la systématisation, la durée et la répétition d'atteintes à la personne ou à la personnalité, par tous les moyens relatifs au travail, ses relations, son organisation, ses contenus, ses conditions, ses outils, en les détournant de leur finalité, infligeant ainsi, consciemment ou inconsciemment, une souffrance intense afin de nuire, d'éliminer, voire de détruire. Il peut s'exercer entre hiérarchiques et subordonnés, de façon descendante ou remontante, mais aussi entre collègues, de façon latérale ».
Tactiques ultimes (sur le point d’être confondu)
Si un emballement peut conduire le pervers narcissique à commettre des actes de violence, il évite soigneusement de se faire « emballer » par la police et la justice. Pour cela, il maîtrise l'art de « l'emballage » des faits dans le discours. Pour paraphraser Philinte, dans « Le Misanthrope » : « Toujours, en termes convaincants, ses dénégations sont dites ». Acculé, il peut se faire passer pour fou, irresponsable de ses actes, car on sait que les fous peuvent tout se permettre (article 122-1 du nouveau code pénal).
ANNULATION D'UNE DELIBERATION ILLEGALE DE PROMOTION D'UN AGENT
Par moderateuraepr Le 27 avr 2008
ANNULATION D'UNE DELIBERATION ILLEGALE POUR LA PROMOTION D'UN AGENT DE POLICE MUNICIPALE
Soucieux de la gestion rigoureuse des deniers des contribuables Rognacais et du respect des textes en vigueur, notre groupe s’abstenait de voter en séance publique la promotion d’un agent de police municipale à un grade de cadre catégorie A. Malgré la justification de notre position, le Maire choisissait de faire fi de toutes nos remarques et de faire adopter par sa majorité cette délibération prévoyant le versement d’une prime annuelle de 7500 euros ainsi qu’une augmentation mensuelle de la rémunération dudit agent d’environ 200 euros. Seul un rappel à l’ordre du contrôle de légalité de la sous-préfecture d’Istres, chargé de vérifier la légalité des actes, a imposé l’annulation de ladite délibération. Une collectivité se gère avec rigueur et professionnalisme. Tout manager, digne de ce nom, se doit de savoir que la gestion des ressources humaines est un élément clé du bon fonctionnement d’une collectivité. Inconscience et amateurisme n’ont donc pas de place dans une politique managériale car ils conduisent inéluctablement d’une part à la démotivation du personnel nuisant à la qualité du service public et d’autre part au gaspillage regrettable de l’argent public…
Corinne LUCCHINI
Premier conseil municipal, première duperie de l'équipe majoritaire...
Par moderateuraepr Le 22 mars 2008
1ère duperie de la majorité !!!
Les Rognacais jugeront une fois de plus...
lire le discours d'opposition de Corinne LUCCHINI.doc
Samedi 22 mars 2008 à 14 h 30 a eu lieu le premier conseil municipal durant lequel ont été élus le maire et ses adjoints. Si pour l'élection du maire aucune surprise n'était à l'ordre du jour, en revanche en ce qui concerne le 1er adjoint, il en fut tout autre. Les spectateurs présents mais aussi l'ensemble des Rognacais ont découvert la supercherie (plus que prévisible) de la nouvelle majorité qui vient d'être mise au grand jour.
Depuis plusieurs semaines, la manoeuvre pressentie autour de la candidature de Madame GARCIA Sylvie présentée en deuxième postion sur la liste de M. GUILLAUME avait été dénoncée. Le positionnement de cette conseillère, guère impliquée dans le mandat précédent, ne pouvait être qu'un leurre : d'une part pour mettre un peu de jeunesse dans cette équipe d'adjoints dont la moyenne d'âge est de 60 ans et plus et d'autre part, pour dissimuler les ambitions inavouées du cousin au maire, M. DE SIO qui est l'instigateur des évènements de juin 2007 aux seules fins de dévenir 1er adjoint et vice-président de l'Agglopôle.
Il est fort regrettable que cette conseillère ternisse son image en s'étant prêtée à ce jeu malhonnête vis à vis des électeurs. Sa candidature à un poste d'adjoint ne pouvait être que façade puisque pour des raisons personnelles, elle avait fait connaitre à de nombreuses personnes sa volonté de ne pas repartir pour un mandat supplémentaire. N'ayant certainement aucune ambition politique, Mme GARCIA a donc participé à la duperie des électeurs rognacais en acceptant de figurer en 2ème position sur le trombinoscope et sur la liste officielle déposée en préfecture en sachant pertinemment qu'elle ne serait jamais adjointe.
Pourquoi ce jeu, telle est la question que de nombreux Rognacais se posent ?
- D'une part tout simplement pour épargner les égos de toutes ces autres dames supposées elles le devenir (Mmes GIANNARELLI, CAILLOL, LISSONNET, DELAGARDE) qui ont refusé la fameuse position de n°2 qui leur imposait ensuite d'être rétrogradées derrière M. DE SIO dont elles savaient d'avance l'élection en qualité de 1er adjoint
- d'autre part pour tenter de dissimuler les manoeuvres abjectes de M. DE SIO guidé uniquement par son ambition personnelle.
Les pratiques mises en place dès le 1er jour par cette majorité interpellent bien entendu et laissent penser qu'elles ne sont que les prémices de toutes celles qui peuvent attendre les Rognacais. Mais elles seront chaque fois dénoncées et portées à la connaissance de nos concitoyens par nos propres moyens de communication puisque La Provence, au travers de sa correspondante de presse fait preuve incontestablement de partialité vis à vis de la majorité.
Depuis le début de la campagne, jamais les faits n'ont été véritablement relayés par le seul journal local. Alors que toutes les autres villes disposaient pour couvrir les élections de nombreuses colonnes attribuées à chacun des candidats, pour Rognac la démarche fut toute autre. Les quelques articles articles publiés ont toujours été déformés et arrangés à la sauce de P.Y, leur auteur acquis à la cause de la majorité, et cela a nécessité d'ailleurs par deux fois des demandes de droits de réponse pour rétablissement de la vérité. Les lecteurs de ce journal n'ont jamais eu droit à l'information, au niveau politique, mais seulement à de la propagande déguisée....
La campagne est terminée mais les pratiques de la correspondante de presse perdurent. Aussi dans l'article de presse du 24 mars relatant le conseil municipal, alors que la liste "Agir ensemble pour Rognac" a clairement déclaré vouloir être une opposition constructive, il a été écrit, selon l'appréciation de la rédactrice que cette liste d'opposition avait bien l'intention d'en découdre avec la majorité...
Il nous faut donc avancer avec ces travers journalistiques que nous qualifierons de désinformation volontaire et organisée. Nous réaffirmons que l'ambition de notre équipe est en fait véritablement d'être constructive pour faire avancer la ville de Rognac. Pour autant, cela ne veut en aucun cas dire qu'il convient de faire serment d'allégeance au maire. Il est à regretter que ce soit le cas des deux autres listes qui ont immédiatement rejoint la nouvelle majorité, en allant jusqu'à faire liste commune lors des élections des représentants dans les commissions.
En ce jour de premier conseil, il apparaît donc clairement que la liste "Agir ensemble pour Rognac" devient la seule liste d'opposition qui veillera véritablement à dénoncer les faits et les actions qui ne vont pas dans l'intérêt de Rognac et de sa population...
Pour info : MM. Ange VENTRELLI et Alain EGEA ont été respectivement élus au CCAS et à la commission d'appel d'offres