Bonjour les provençaux,
Dites moi que ce n’est de l’art moderne notre bastidon ….que c’est typiquement provençal….
J’ai 40 ans ,je suis de Rognac ,je ne dois pas avoir les mêmes références que la personne qui a pondu cette horreur ,oui une horreur car je ne connais pas une seule personne qui ai dit que c’était jolie …ou alors peut-être celui qui a reçu le « petit » chèque…même les jeunes trouvent ça « moche » c’est pour dire.
Quand à la place,non ce n’est pas une place,c’est le parking d’un cimetière…ils aurait pu,au moins intégrer un motif ,ou tout faire en rose ou autre ( il n’avait peut-être plus de colorant , les pauvres).
Ah et pour finir , ils ont encore abattu (et vite fait) deux platanes au carrefour de la société générale , vivement qu’ils plantes les autres pour que l’on commence à oublier…
Rognacais bonne journée ,sauf un (le maire bien sûr)
Réponse de Corinne LUCCHINI
Moi non plus, je n’ai pas trouvé une seule personne qui m’ait dit qu’elle appréciait cette architecture… Tous les goûts sont dans la nature, certes, mais là franchement !!!
On en plaisante, mais il ne faudrait pas oublier que cette réalisation a tout de même coûté aux contribuables la bagatelle de 2 millions d’euros et cela pour héberger tout au plus un cinquantaine d’usagers. Quand je pense que l’on aurait pu rénover l’Oustaou pour un coût 4 fois moindre, et éviter cette verrue en pleine place, je ne vais pas vous dire que je suis contente !
Et alors que dire des arbres que l’on ne cesse d’abattre comme s’il s’agissait de mauvaises herbes. Quand les travaux à la villa Moutet vont attaquer, ce sera un vrai carnage écologique. Tout va y passer dans le parc arboré et nous aurons encore des m3 de béton en remplacement ! Pour ceux qui ne seraient pas encore informés, le dernier cadeau du maire (d’adieu, il faut l’espérer), c’est l’édification de 48 logements sociaux en plein centre ville. Un article y sera prochainement consacré tant il y a à dire encore sur ce projet !
Je comprends que vous n’ayez pas spécialement envie de souhaiter une bonne journée à notre premier magistrat au terme de son mandat. Mais rassurez-vous, cela lui est complètement égal. Son expression favorite a toujours été : »il me pleut devant comme derrière » et peut lui importe ce que pensent ses administrés. Mais cela, sans doute l’aviez-vous compris, et c’est d’ailleurs pour cela que depuis sa réélection, la concertation est un mot qu’il a banni du vocabulaire de la collectivité !!! Vous me direz, on mesure aujourd’hui les pitoyables résultats de sa méthode de travail…