A la lecture du document « Bilan 2008-2014 » de l’équipe municipale sortante , plusieurs constats s’imposent . Au dela de l’autosatisfaction routinière en pareil cas ( tout le monde fait de même dans toutes les équipes en place de toutes les villes de France et de Navarre ), force est de constater encore une fois , que nous avons là toute un litanie de chiffres . Les millions d’euros s’alignent dans un ordre parfait , tels les soldats en terre cuite des légions enterrés de l’empereur chinois Qin Shi Huang . Dés lors on est impressionnés ! Encore une fois , annoncer des chiffres n’a aucun sens si derrière il n’y a pas d’explication rationnelle . Exemple : entretien de la voirie ( c’est la moindre des choses pour une mairie , non ? C’est aussi son travail ) on annonce X millions d’euros . Bien , sauf que cela est aussi abstrait qu’un tableau de Picasso ( la valeur en moins ! ) car rien ne dit si c’est suffisant ou trop peu , si cette somme a été engloutie par 1 , 2 ou toutes les voies de la commune etc…Si je prends l’exemple de l’environnement de la fontaine du Bd vallat de la Chapelle , il est certain que les travaux de voiries à répétition et qui n’en finissaient pas suite à l’effondrement de la chaussée , ont certainement englouti quelques millions à eux tout seul . Il y aurait tant à dire , sur la vidéo surveillance qui n’en ai pas réellement une et j’en passe et des meilleures . Alors que l’équipe de Mr Guillaume se fasse plaisir avec ce document , c’est de bonne guerre en période de campagne électorale , mais bon lorsque l’on marche sur un tapis , on y voit que le dessus , sans toujours savoir si la ménagère peu scrupuleuse y a caché dessous la poussière et autres indélicatesses .
Réponse de Corinne LUCCHINI
Rassurez-vous, nous allons soulever le tapis… et mettre au grand jour le nombre impressionnant de promesses non tenues ! Parole de LUCCHINI… Et je vais vous faire une confidence, personnellement si j’avais un tel bilan, j’irai plutôt me cacher trop honteuse d’avoir trahi à ce point mes électeurs ! Il faut un minimum de figure quand on fait de la politique.