un bon a rien qui ment et se fout de tout et qui se permet tout comme avec son mur il a tout pourri et ca pretend etre maire ca mais tout le monde s’essuie les pieds sur lui il merite rien de plus bonnes fetes madame lucchini on attend avec impatience que vous repreniez tout ca en main y a en bien besoin
Réponse de Corinne LUCCHINI
Veuillez m’excuser d’avoir publié tardivement votre commentaire, mais actuellement l’hébergeur procède à une mise à jour notamment de l’interface d’accueil et des problèmes surviennent régulièrement. Pages déplacées, commentaires dirigés vers la corbeille, enfin je vous en passe, ce qui fait que je crains que quelques rognacais pensent à tort que je n’ai pas souhaité publier leurs écrits. Ce n’est pas volontaire et je prie ceux qui constatent la non diffusion, de m’adresser de nouveau un message.
Quant à la teneur du vôtre, j’ai déjà été interpellée notamment sur le mur. En effet, j’ai fait sur place le même constat. J’ai même pris quelques photos qui ont irrité le maçon tellement le chantier m’a interpellée par les salissures qu’il provoquait et pour lesquelles aucune protection n’avait été mise en oeuvre. Quelques mètres au-dessus de la propriété du maire, en plein virage avant l’école, un administré a lui aussi crépi récemment. Pas une seule trace sur le trottoir ne persiste car un simple carton lui a suffi pour protéger l’espace public. Cette précaution n’a pas été jugée utile par le maire qui a laissé faire. Le maçon a du passer le karcher après mon passage mais le mal était fait et le ciment blanc demeurera visible pendant un temps très long !
Aussi, je vous rejoins totalement. Un maire se doit de donner l’exemple et d’être irréprochable. Ce n’est pas le cas à Rognac, chacun le constatera avec ce simple exemple de mur. Aucun panneau d’affichage, un dépassement à certains endroits des 2 mètres maximum de hauteur autorisée et une dégradation de l’espace public…
Quant aux mensonges, je vais vous faire un aveu : Je crains qu’il ne souffre d’une pathologie. Avant mon départ, il est arrivé à plusieurs reprises que M. Guillaume me raconte des faits (auxquels il semblait ne plus se souvenir que j’étais présente mais surtout la principale protagoniste). Il me relatait alors les évènements en s’appropriant mes propres interventions comme si je n’étais pas là… alors que lui-même n’avait pas dit un mot !!!! Que dire de plus si ce n’est que la vidéo, vous le comprendrez, est par la force des choses, devenue un outil indispensable…