madame lucchini je travaille sur la zone de vitrolles et a partir de 5 heures pour en sortir c’est la folie tellement y a du monde. merci guillaume la zone de rognac c’est un desert ; guillaume a préférer faire le rond point de sa pharmacie des barjaquets et la rue de son autre pharmacie en centre ville a cote de la ou habite son cousin. le 1er adjoint qui s’ocupe des travaux (bizarre non !!!!!!!!!). et qui a payé le mur pour le protéger des hlm que les habitants appelle la honte des barjaquets, collé les uns contre les autres on aimerait bien savoir ????????? en 2014 les abru… qui vont voter pour lui ils sont bon pour monperrin ca c’est sur
Réponse de Corinne LUCCHINI
La vidéo qui illustre l’article sur la zone a justement été filmée vers 17 h 00, et je dois reconnaître que je me suis étonnée de voir notre zone totalement désertée à cette heure d’affluence dans toute zone d’activité.
Quant au reste de votre commentaire, les choix qui ont été ceux du maire et son équipe en matière d’investissement n’ont pas été cautionnés par notre groupe d’élus. En conseil municipal, nous avons d’ailleurs tenté en vain d’obtenir les raisons du choix de la réfection de la rue Camille Pelletan qui nous semblait effectivement ne pas être une priorité. Une vidéo en témoigne, M. Guillaume et son adjoint aux travaux ont été dans l’incapacité de nous faire la moindre justification qui tienne la route. Dans ces conditions, il est normal d’en conclure qu’il vaut mieux tenir que courir… c’est à dire choisir d’embellir les lieux de ses propres commerces ou de son habitation pendant que ces messieurs sont encore décideurs et maîtres de l’utilisation de l’argent public car après tout responsable politique un minimum sensé aurait d’autres priorités. Mais il est bien connu que ces élus ont pour précepte « charité bien ordonnée commence par soi même », la chose devait donc leur semblait normale et en rien choquante…. Ce qui n’est pas le cas de nombreux Rognacais qui n’ont guère apprécié la démarche.
Il y avait comme je vous le disais bien d’autres priorités à s’occuper, notamment les écoles, le centre aéré, la zone industrielle justement pour ne prendre que quelques exemples significatifs…. Mais 38 % des Rognacais l’ont voulu ainsi. A moins que dans les 38 %, certains reconnaissent enfin qu’ils se sont tout simplement faits berner.