j’apprecie beaucoup votre réponse Mde Lucchini a cet internaute qui signe mensonge. Je suis presque certains que ce sont vos adversaires qui ont peur de vous. Ce que j’ai particulièrement apprécié chez vous c’est que vous n’avez critiqué personne, vous nous avez rien promis,et n’avez pas demandé pour qu’on vote pour vous. Vous etes comme dit santoni sylvaine une grande dame et grace à votre visite je l’ai mieux compris. encore merci et j’espère que les rognacais ne passeront pas a coté de la chance de vous avoir pour maire. ce serait pour moi une très grosse déception.
Réponse de Corinne LUCCHINI
Merci de témoigner ouvertement du contenu de mes rencontres, bien que je n’ai pas besoin de me justifier auprès de ce type d’individu qui m’indiffère.
Peur de moi, je crois que le mot est léger. Je suis devenue pour mes adversaires une obsession… Je suis d’ailleurs dans toutes leurs conversations. Ils feraient mieux de s’occuper des préoccupations des Rognacais plutôt que de se préoccuper de moi.
Madame Santoni a toujours à mon égard des propos très flatteurs, je le reconnais. Je ne prétends pas être une grande dame, et pour faire un peu d’humour, cela d’autant plus que je ne mesure qu’un mètre soixante, mais je suis passionnée par ce que je fais et je sais me faire respecter. C’est tout. J’ai la chance d’avoir une formation de gestionnaire de par ma profession et si l’on ajoute l’expérience qui est la mienne au sein de cette collectivité, cela me permet d’avoir un regard averti sur la gestion de notre ville et de bien maîtriser mes dossiers. A partir de là, la partie sera rude, pour ceux qui ne sont là que pour avoir une carte de visite. Pour la décrocher, ils vont m’avoir en face et j’entends bien les mettre face aux responsabilités qu’ils briguent.
On ne peut pas être maire par hasard, cela est une conviction profonde. Rognac s’est trompé une fois, et avec la métropole qui nous attend à compter de 2016, cela ne peut pas se produire deux fois. Il va falloir savoir de quoi l’on parle parce qu’en face, c’est les loups de la politique marseillais qui nous attendent pour nous manger. Imaginez simplement M. Guillaume dans cette situation. Cela promet des lendemains désenchanteurs pour notre ville, qui pourrait affirmer le contraire ?