DEBROUSAILLER : UN DEVOIR, UNE OBLIGATION… (Rognac Infos : page 26 mars 2013)
et passage de la POLICE MUNICIPALE pour confirmer la dangerosité du non débrousaillage.
Et autorisation écrite des propriétaires des parcelles au dessus des maisons du Vallon de Perrin QUI ONT ROUSSI EN SEPTEMBRE 2012 lors de l’incendie criminel.
Maintenant qu’il n’y a plus rien à brûler et donc à débrousailler, de quoi s’agit-il ?
Le mépris de la douleur des sinistrés, la provocation pour une intervention espérée depuis plusieurs années et jamais exécutée, la réponse à l’incendie du Vallon de Perrin il y a 6 mois, de l’intimidation (pour obtenir quoi ?), de la poudre aux yeux en vue des élections de l’an prochain.
Qui paie encore pour ces actes obsolètes : les paperasses, la Police, etc….. LES VICTIMES évidement.
Les propriétaires des parcelles ont été convaincus eux aussi qu’il fallait faire un geste pour les apparences et par crainte du porte monnaie sans doute.
Il n’y a pas si longtemps : Je me suis vue « interpellée » car les « EAUX et FORETS » sur plainte de Mme CAILLOL car elle estimait que je débrousaillais trop autour de ma maison.
Et pensez donc, je récupérais son bois, sa, ses, son….
La Mairie n’est pas intervenue, je me suis battue seule et maintenant que tout est calciné, on vient faire la grande parade. Trop habituée pour être suffoquée par tant d’arrogance, et pour ne pas sombrer devant tant de fourberies je préfère soulager mon coeur en publiant ce message.
Réponse de Corinne LUCCHINI
Que dire effectivement devant tant de mépris ! La majorité municipale se fout ouvertement du monde et plus encore maintenant que les élections approchent. Mais les Rognacais dans leur ensemble, comme vous, ne me semblent pas êre des citoyens anesthésiés à qui le maire peut tout faire gober…
Mes visites de quartier se poursuivent et croyez-moi, le regard porté sur le bilan de l’équipe municipale est accablant. Je l’invite bien volontiers à m’imiter, car au regard de ce que les Rognacais me racontent, je suis certaine de la nature de l’accueil qui lui sera réservé. Ces élus qui ont choisi de se moquer de leurs électeurs, et j’englobe dans mes propos le reste de l’opposition, risquent fort d’être surpris. Mais il leur faut assumer le choix qui a été le leur au lendemain des élections. Se ranger du côté de la municipalité pour obtenir quelques contreparties sera difficile à justifier. Mais comme vous le dîtes, notamment pour l’adjointe à la petite enfance, au demeurant votre voisine, pour certains élus il n’y a que le moi, mon, ma… qui comptent !