bonjours pouvez vous me dire de quelles sortes sont les problèmes de maintenance sur le système de fonctionnement de la brumisation .(etant retraitè de la maintenance il suffirais d un rien pour que ça fonctionne ,ou bien le problème est plus important ? les retraitès savent aussi faires des choses )
Réponse de Corinne LUCCHINI
Je crains que le problème soit d’importance car la municipalité en collaboration avec le SIMA (syndicat intercommunal du Massif de l’Arbois) dont le président est d’ailleurs un adjoint à M. Guillaume n’ont jamais été en mesure d’oeuvrer pour que ce dispositif soit totalement opérationnel. Je le regrette vivement car au vu de l’investissement qui est loin d’être anodin, c’est une nouvelle fois de l’argent public qui a été jeté à la poubelle.
Il semblerait qu’un problème d’ordre juridique perdure. La municipalité a-t-elle cherché à y remédier ? Jamais ce sujet n’a été à l’ordre du jour, mais déjà que l’opacité la plus complète est constatée dans la gestion communale, on se doute d’autant plus que ce genre d’information est volontairement passé sous silence !!!!
En revanche, de par mon expérience, je sais que les risques d’incendie dans ce secteur sont accrus. Des problèmes d’évacuation de la population sont réels en cas de sinistre, c’est pourquoi on ne pouvait que se rejouir de disposer d’un tel outil de prévention. Je précise que sur d’autres communes, la brumisation a démontré maintes fois son efficacité. Mais à Rognac, rien n’est simple nous le savons bien. Toutefois, j’ai l’intime conviction que ce qui fait le plus défaut à notre commune c’est une véritable volonté politique pour faire avancer les choses. Il y a nombre de dossiers où le maire partait battu d’avance et me disait qu’il ne servait à rien de se démener. Or, bien souvent les lignes ont bougé grâce à la pugnacité que l’on me connaît et que certains osent me reprocher parce qu’ils n’ont encore pas compris qu’un politique à la tête d’une collectivité qui n’en fait pas preuve devient un handicap pour le développement de cette dernière…
Alors, je crains Monsieur, que malgré votre bonne volonté et votre expérience, la situation demeure en l’état jusqu’à ce qu’un changement radical d’un point de vue politique s’opère sur notre ville. En l’état, je ne peux malheureusement pas vous suggérer une quelconque action et sachez que je le regrette car il en va de la sécurité de nos concitoyens.