bonjour mde lucchini on dit que vous n’etes plus interessé par rognac on vous voit plus car vous etes à paris il y a beaucoup de rognacais jeunes et vieux qui espère que vous serez élu la prochaine fois moi je vous ai connu pendant les élections et je voterai encore pour vous la prochaine fois parce que j’ai pu voir que vous vouliez vraiment faire des choses pour cette ville j’espère que la rumeur n’est pas vraie
Réponse de Corinne LUCCHINI
Je suis élue depuis 1995 et j’ai toujours consacré beaucoup de mon temps à notre ville. D’abord au sein d’associations, puis comme conseillère municipale en charge d’une délégation. A partir de 2001, ce fut à 100 %. Je vivais pratiquement que pour Rognac car 1ère adjointe et vice présidente de la communauté d’agglomérations, je remplissais les fonctions de maire qui étaient délaissées par l’actuel et me battais sur tous les fronts dans l’intérêt Rognac. Un maire doit être un visionnaire, un bâtisseur, un fédérateur et je peux vous assurer que cela demande un investissement de tous les instants auquel j’ai consenti bien volontiers parce que j’aime les challenges. Il y a tant à faire, tant de projets qui pourraient faire se développer notre ville ! Il n’y a qu’à voir autour de nous ce que font les véritables hommes politiques dès lors qu’ils ont à coeur leur mission…..
Aujourd’hui, j’assiste impuissante au déclin de notre cité. Je n’ai aucun pouvoir d’agir pour changer la situation rognacaise si ce n’est dénoncer à la population les dessous cachés de la gestion guillaume. Pour ce qui est de l’immobilisme, il faudrait être aveugle pour ne pas s’en rendre compte !!!!
Ceux qui me connaissent savent que ma devise a toujours été AGIR POUR NE PAS SUBIR. Aussi, j’ai fait le choix de l’action en me réinvestissant à 100 % professionnellement et de nouveaux challenges m’attendent. Certes, je suis moins visible sur Rognac pour raison de déplacements sur la capitale mais je ne me désinteresse pas pour autant de ce qui se passe ici… Aussi, ne prêtez donc pas cas aux rumeurs et faîtes comme moi, laissez les donc courir !