LE MENSONGE PEUT COURIR LONGTEMPS MAIS LA VERITE LE RATTRAPE TOUJOURS …
MENTEUR OU PAS MENTEUR ???
Siéger dans les rangs de l’opposition n’est pas synonyme de « s’opposer à tout ». Si bon nombre de décisions municipales recueillent l’avis favorable des élus de l’équipe AGIR ENSEMBLE POUR ROGNAC, en revanche, certaines font l’objet d’une contestation justifiée bien souvent au travers du droit d’expression figurant au sein du magazine municipal.
En réplique à l’article publié en mars/avril sur la publication n° 117 traitant de la récente condamnation de la ville pour l’erreur d’urbanisme commise par le maire alors qu’il était encore conseiller municipal, le droit de réponse signé par M. Guillaume en personne est consternant ! Ainsi, pour se dédouaner, l’élu qu’il est n’a trouvé autre solution que d’affirmer qu’il n’a jamais eu en charge la délégation urbanisme sous le mandat de M. BATIGET de 1995 à 2001….
Qu’un 1er magistrat ose publier un tel mensonge est stupéfiant ! Comme les faits, à eux seuls, peuvent rétablir la vérité, des explications supplémentaires ne s’imposent pas et semblent même totalement inutiles…. Au-delà des employés municipaux, des anciens élus, des administrés reçus à l’époque à l’occasion de problèmes d’urbanisme qui eux connaissent parfaitement la véracité des propos de Corinne LUCCHINI et peuvent en témoigner, chaque Rognacais, personnellement, peut lui aussi éventuellement détenir une confirmation dans ce sens s’il a déposé durant la période en question un dossier de permis de construire ou de déclaration de travaux : il suffit alors de vérifier le nom de l’élu signataire qui figure au bas de l’autorisation délivrée.
Pour la condamnation en question, le permis du pétitionnaire qui a fait débourser à la collectivité et par là même aux contribuables plus de 86.384 € de travaux a lui aussi été bel et bien signé par M. Guillaume en personne en date du 19 février 2001 et non pas le 17 décembre 2001 comme il est volontairement et faussement écrit.
Nous assistons aujourd’hui à une tentative de déresponsabilisation totale du 1er magistrat. Une telle attitude n’est vraiment pas digne d’un élu qui a reçu la charge de la destinée d’une ville. Si ces faits démontrent incontestablement son inaptitude certaine aux affaires publiques, il est regrettable qu’acculé M. Guillaume choisisse de se retrancher désormais derrière des contre-vérités effarantes dont les retombées entachent de fait son équipe mais aussi jusqu’à sa propre famille . Loin de nous satisfaire de ce nouveau comportement de nature à dévoiler le véritable personnage, nous en appelons au jugement des Rognacais pour apprécier une telle conduite. Certes, certains choisiront de se voiler la face et apprécieront les tonnes d’invectives qui sont jetées en retour volontairement contre Corinne LUCCHINI dans les tribunes de la majorité. Mais, il est clair que ces écrits caricaturaux, démagogique et fallacieux n'ont d'autre objectif que de « noyer le poisson » et détourner l’attention de l’essentiel. Fort heureusement, les lecteurs ne sont pas stupides et les plus responsables prennent ainsi conscience de la gravité de la situation. Les rangs des Rognacais qui malheureusement découvrent maintenant avoir été abusés par le maire et son équipe ne cessent au jour le jour de grossir !
