l’argent qu on jete par les fenetre s est la folie et apres on nous dit pas de rond pour acheté du materiel il nous prene pour des c;;; faut se revolte plein les botte que des entreprise qui travaile que des chose qui serve a rien le terain de boule neuf qu on detruie la statue de mr batiget la plaque a mr giraud que ca a coute un bras pour les leve la salle de mariage qu on refait le journal tout les mois le rond poind de carefour le bastidon en plus il boufe a l oeil et ce la pete mais c est notre pognon tout ca on nous grate sur tout pendant que d’autre foute rien et qu on dit rien faut que vous reveniait madame lucchini ca sufit maintenant on est tous avec vous
Réponse de Corinne Lucchini
Je dois reconnaître que je reçois un nombre impressionnant de messages de cet ordre que je ne publie pas pour éviter de mettre quiconque en porte à faux. Vos remarques sont pour le moins pertinentes mais que se passe-t-il pour qu’un tel ras le bol s’exprime… Le courage en politique c’est de savoir aussi dire NON, ca suffit, et avant tout à sa propre équipe. Et c’est aussi de savoir définir une ligne politique et de s’y tenir. La gestion des ressources humaines est également primordiale dans une collectivité qui compte environ 250 agents. J’ai eu récemment l’occasion de discuter avec quelques agents issus de divers services. La tension est plus que palpable. Il n’est pas bon de faire travailler le personnel dans ces conditions. Alors beaucoup m’ont dit vivement 2014, et nombreux maintenant sont ceux qui m’avouent avoir fait confiance à Guillaume en 2008 car il leur semblait plus « brave » pour reprendre un adjectif que je lui laisse bien volontiers. Il ne faut jamais se fier aux apparences…. J’apprécie d’ailleurs que beaucoup d’entre vous aient cette franchise car si les Rognacais m’accordent leur confiance, je veux rétablir le climat serein que nous avons connu durant l’époque où j’étais 1ère adjointe. Un climat où chacun peut s’exprimer pour dire ce qu’il ne va pas, un climat où chacun peut contribuer à l’amélioration du fonctionnement de son service, un climat où chacun se sent considéré, valorisé pour donner le meilleur de lui-même. Un climat où il n’était pas question pour les élus de dépouiller le personnel et les services pour jeter de l’argent par les fenêtres alors même que nous sommes comptables des deniers publics.. Deux ans nous séparent encore du moment où le verdict tombera. Les Rognacais et la majorité des agents auront-ils compris qu’il ne faut en aucun cas s’éparpiller sur des candidats qui depuis 4 ans maintenant ont montré le peu de détermination et de pugnacité qu’ils avaient pour développer ou défendre notre ville. J’ai certainement des défauts, mais personne ne pourra un jour me reprocher de ne pas être motivée pour remettre Rognac sur les rails de la réussite. Et c’est avec vous et non pas contre vous que l’on peut agir pour Rognac !