Jeudi 27 juin 2013, le conseil municipal avait à son ordre du jour des points d'importance. En cette 2ème partie, les débats ont porté, entre autres, sur des questions financières. La nécessité du recours à la location d'une presse numérique pour un coût de 16.000 € ne s'imposait pas aux yeux de l'ancienne 1ère adjointe qui fut en charge de la délégation communication.
Plus encore quand son successeur, M. De Sio, a été dans l'incapacité de fournir à l'assemblée la moindre explication qui tienne un tant soit peu la route. Mieux encore, de son propos confus, chacun aura entendu que le service communication réfléchissait encore à l'usage qui pourrait être celui d'un tel matériel alors même que le contrat de location est d'ores et déjà signé !!!!!
A Rognac, depuis 2008, on dépense et on réfléchit ensuite aux besoins qui justifieraient la dépense de l'argent public !!!! En cette période électorale et en l'absence d'explications cohérentes, ce besoin soudain d'un équipement de cette nature interpelle. Rappelons toutefois que le code électoral impose à tout candidat à une élection de financer sur ses fonds propres ses tracts et que toute utilisation des moyens humains et matériels de la collectivité est strictement interdite. Quelles sont les raisons qui font que malgré l'insistance de Corinne LUCCHINI, le 1er adjoint a sciemment botté en touche ?
La prochaine représentativité à la communauté d'agglomérations a fait quant à elle l'objet d'un débat serein. Corinne LUCCHINI fut la seule à se réjouir de la diminution du nombre de conseillers et de vice présidents qui sera de nature à alléger sensiblement le coût pour le contribuable. Rappelons que depuis 2008, le conseil communautaire a vu des rangs d'élus augmenter sensiblement.
Le ton des débats ne fut pas de même nature pour la présentation du rapport sur la prescription de l'élaboration du Plan Local d'Urbanisme. Depuis 2009 où 60.000 € avaient été inscrits sur le budget pour mandater des cabinets, force est de constater que ces derniers chargés d'élaborer le PLU n'ont pas avancé d'un pouce.
Et pour cause, leur difficulté fut de taille : la majorité Guillaume n'a aucune vision du Rognac à 20 ans. Un second cabinet avait du être mandaté pour aider ces élus à se projeter mais ce fut là un second échec. Cet immobilisme a fait perdre à notre commune un temps précieux et elle en sera dans les années à venir grandement pénalisée...
En filigrane des débats parlementaires, il filtrait depuis quelques temps déjà que la Métropôle pourrait se charger de l'élaboration des PLU de toutes les communes qui n'auraient pas entamé cette démarche. Ce sont ces informations qui ont poussé Corinne LUCCHINI à aborder sciemment le sujet du PLU par deux reprises. Pour faire réagir la municipalité, lors du débat d'orientation budgétaire mais également la de la publication de son journal en juin 2013, elle avit lancé quelques piques et comme elle l'avait espéré, cela a fini par provoquer une réaction de la municipalité. C'est grâce à cette manœuvre que la délibération prise en ce conseil devrait mettre Rognac à l'abri de décisions prises à l'échelle de la future Métropôle. La prochaine équipe municipale pourra donc garder la charge de l'élaboration du PLU puisque le processus a été enfin engagé en ce 27 juin 2013.
Mais ce retard aura malgré tout des conséquences irréversibles. En effet, le Scot (schéma de cohérence territoriale) approuvé en 2013 par l'Agglopôle s'imposera désormais au PLU rognacais alors que si dernier avait été élaboré, le document supra communal qu'est le SCHOT aurait tout naturellement intégré les orientations des élus représentants de la population rognacaise. Il faut savoir que Rognac devra s'incliner devant les prescriptions de l'Agglopôle et quand Corinne LUCCHINI a mis le maire face à ses défaillances, il a une fois encore choisi de se fourvoyer dans le mensonge. Comme toujours son 1er adjoint l'a suivi sur ce chemin mais avec une agressivité à l'évidence de moins en moins contenue...
Les propos mensongers que ces élus ne cessent de proférer dans le but de discréditer leur principale opposante risquent fort dans les les mois à venir de se transformer en boomerang. Par ce biais, ces deux élus espèrent masquer leur incapacité à gérer le devenir d'une ville, mais à l'évidence leurs mensonges n'y suffisent. Au jeu de la vérité, l'équipe Guillaume y a toujours laissé des plumes car depuis 6 ans maintenant, Corinne LUCCHINI s'est fait un devoir de fournir des preuves accablantes contre leurs propos mensongers. Les Rognacais, en cliquant sur les liens ci-dessous auront quelques aperçus du degré de malhonnêteté intellectuelle du maire de Rognac qui même lorsque ses mensonges sont gros comme des maisons, est capable de dire droit dans les yeux, ou d'écrire noir sur blanc, sa "vérité" du mensonge...
Il est à se demander si lui et son cousin de 1er adjoint, ne seraient pas parentés à l'ancien ministre Cahuzac ? L'orgueil et le sentiment de suprématie conduisent à un sentiment d'impunité mais fort heureusement, la vérité fait toujours son chemin ! En cliquant, sur les deux liens ci-dessous, les Rognacais constateront combien la vérité est une valeur que piétine allégrement le maire de Rognac !
cliquez ici pour un premier article (jean pierre guillaume véritable gestionnaire ou simple usurpateur) et ici pour le second (le maire de rognac rattrapé par sa stratégie mensongère)