Une visite au coeur de nos institutions...
Dans le cadre de ses fonctions, Corinne LUCCHINI se déplace désormais régulièrement. Cette semaine, c'est en compagnie de Sophie Joissains, jeune sénatrice des Bouches du Rhône que Corinne Lucchini a plongé au coeur de nos institutions.
Le sénat, hébergé au Palais du Luxembourg, est la deuxième chambre de notre système parlementaire bicaméral. Cette haute assemblée est constituée de 343 sénateurs élus au suffrage universel indirect. Un président élu par ses pairs, ainsi que 8 vice-présidents, 3 questeurs et 14 secrétaires forment le bureau du Sénat. Au-delà de son action de contrôle du gouvernement, de la représentation des collectivités et des Français à l'étranger, cette assemblée statue sur les propositions de loi qu'elle peut elle-même formuler, mais également sur l'adoption ou pas d'amendements. Une visite fort intéressante qui a encore resseré les liens de solidarité qui unissent ces jeunes élues.
En ces temps si durs, où l'éthique est mise de côté par certains élus qui ne pensent qu'à saisir les opportunités à des fins personnelles, il est des discours qui sont rassurants. Sophie est de la même trempe que sa mère, la députée maire Maryse Joissains qui a toujours soutenu inconditionnellement Corinne LUCCHINI.
Maryse Joissains-Masini est une élue d'expérience qui a démontré, il y a peu, que l'honneur de sa ville d'Aix en Provence valait bien un combat. Et devant certains opportunistes, qui n'ont réculé et qui ne rechinent toujours pas devant un quelconque procédé indigne pour la salir personnellement, elle a toujours réussi à emporter la victoire. Un bel exemple d'intégrité, de détermination et de pugnacité... au véritable service d'une population qui a su reconnaitre en elle le véritable engagement politique !!!!
Quant au sénat, il étudie actuellement la réforme des collectivités. Ce dossier fait couler beaucoup d'encre. Si elle apporte des avancées intéressantes, il est marrant de constater que sur le plan local, certains élus qui n'en connaissent ni les tenants, ni les aboutissants, la mettent déjà au pilori. Nul doute cependant, qu'ils sauront s'en servir d'alibi lorsque d'ici peu le résultat de leurs choix incohérents de gestion aura des conséquences irréversibles !